Dans les derniers développements des revêtements antibactériens, avec une meilleure non-viscosité et résistance à l'usure, et un taux antibactérien allant jusqu'à 99,99 %, les nanoparticules d'oxyde de zinc et les ions d'argent dans le revêtement peuvent être adsorbés sur le verre et d'autres substrats, entièrement mélangés avec le revêtement, et se décomposer et libérer des radicaux libres hydroxyle et des radicaux libres anioniques, se fixant à la surface des bactéries ou des virus, détruisant la membrane cellulaire des bactéries et des virus, afin d'atteindre le but de la stérilisation.